Imaginez…
Deux boules dorées, lumineuses et tactiles avec leurs
grelots lourds et mobiles, reliées l’une à l’autre par une jolie corde blanche.
Nichez ces boules « japonaises » dans un écrin de chair rosée, afin que seules la cordelette et son extrémité annelée ne soient
visibles.
Une parure invisible, un bouquet garni pour vilaine en mal
de tourment.
Rétention d’O…
Imaginez une bouteille d’eau minérale, engloutie
difficilement. Chaque centilitre s’écoule jusqu’à l’estomac de cette vilaine
tourmentée. La physiologie veut que cette eau diffuse, d’abord dans le sang,
puis à travers la paroi des néphrons qui composent les reins avant de s’écouler
par l’uretère jusqu’à un réceptacle final: la vessie !
Les parois de la vessie vont se distendre à mesure qu’elle
gonfle sous cet afflux d'eau et comprimer toute la région du bas ventre.
C'est le cycle de l’eau (ou de « l’O », pour les puristes), mis en
évidence par un loup expérimentateur sur vilaine.
L’Histoire d’Eau …
Le jeu consiste à mettre en place ces boules japonaises
alors que l’on se trouve dans un endroit public, particulièrement fréquenté.
Puis à faire boire à la vilaine une bouteille d'eau (Contrex pour les vicieux) jusqu'à la dernière goutte, comme on
engloutirait une bombe H de 'O' et sa minuterie fatale.
Il ne reste plus qu'à siroter le temps à la terrasse d’un café, en attendant l'inéluctable issue de ce cycle de l'eau que l'on vient d'enclencher.
Alors s'invite l’heure de se rendre dans un
grand magasin (Printemps, Galerie Lafayette, Samaritaine) pour des essayages.
Action ! mOteur…
Les galeries Lafayette bondées par un jour de soldes.
Une vilaine perdue au milieu de cette marée humaine. Elle ne marche plus, non
elle glisse comme un fantôme sur un lac, une cinématique stable sans
accélération.
Ses yeux sont fixes. Que regarde-elle ? rien, Elle se scrute
et s’observe, concentrée à contrôler cette marée qui monte lentement.
Elle n’entend plus rien. Elle ne voit plus rien. Elle me
suit et fait ce que je lui dis, trop occupée à surveiller le niveau de l’O et
éviter que la digue ne cède.
Des jupes, voilà ce que je cherche ! Nous en
sélectionnons quelques une avant de disparaître dans le couloir qui mène aux
cabines d’essayage.
Des couples, des femmes, affairés à la compatibilité de ce
qu’ils aimeraient porter et de ce que il peuvent vraiment porter ! Le rideau d’une
cabine s’efface quand nous y pénétrons.
Elle se lance alors dans ses essayages.
Elle n’a pas de
culotte, c’est la règle, ses gestes sont lents afin de ne pas mettre en mouvement
cette masse d’eau contenue et risquer la rupture.
Et moi, je déguste l’instant et les jupes qui défilent.
Nous en sélectionnons une !
Puis vient le temps de cette fessée que je lui avais
promise.
« Bébé, une promesse est une promesse, approche »
Elle reste debout, légèrement courbée quand mes mains
s’abattent sur son cul. Ca résonne comme dans une "cathédrale".
Elle me regarde, livide: « loup, chuuuuttt… tout le monde
doit entendre ! »
« ça c’est bien possible ! » je lui réponds en souriant.
Ma main continue, sûre, gourmande et sonore.
Son cul se teinte de cette couleur carmin qui contraste avec
la blancheur de sa peau.
(Je bande, mais je contrôle mon excitation - grand sourire
-)
Nous sortons. Elle n'ose à peine regarder autour d’elle en
sortant, tandis que moi, je profite de l’instant pour rendre hommage à mon
auditoire avec un large sourire de circonstance…
D’autres rayons, d’autres jupes; une jupe de chez Kookaï
accroche son regard.
Retour dans les cabines, de l’autre coté du magasin.
Nouveaux essayages, elle est emballée et moi, je suis
terriblement « en tension » au propre comme au figuré.
Je lui appuie sur les épaules, la forçant à se mettre à
genoux.
Sa bouche est mise à l’index avant que ma queue n’en abuse
en s’invitant jusqu’au fond de sa gorge.
Mes mains empoignent sa tête, qu’elles dirigent dans un va
et vient régulier.
« Ne bouge pas !».
Je la relève et ma main plonge entre ses cuisses en y
creusant sa déchirure.
Elle me dit qu’elle va jouir.
- « Non ! ne jouis pas maintenant où tu gardes cette eau
encore deux heures… »
Je la fouille, joue avec son clitoris.
Elle, elle est ailleurs, absente du monde, dans une lande intérieure.
Je l’entends qui répète d’une voix faible à peine audible «
ne pas jouir…ne pas jouir… ».
Ses yeux sont mi-clos.
Je fouille ses orifices, lui claque le cul, caresse son
ventre bombé par sa vessie, lui suce les seins.
Cela dure. Un peu. Suffisamment.
Elle me supplie: « Est ce que je peux jouir… ?»
« Bien, bébé, tu vas pouvoir jouir, je vais compter à
rebours de dix à un. Je veux que tu jouisses à 1 ! »
J’ai fait ce décompte, Elle a joui. à 1, précisément.
Inespéré, incongru, ce fût ainsi !
La délivrance : la lâché d’O…
Une voiture s’arrête en bordure d’un sous bois de garrigue
La porte s’ouvre.
Elle descend précipitamment en s’accroupissant entre la
portière ouverte et la voiture.
Je la regarde, elle a le visage crispé.
Au moment de la délivrance, partagée entre douleur, brûlure,
honte et excitation, elle me crie : « salaud !!!!! »
Suis-je vraiment un sale "O"?